Voici un nouveau dessin tiré de Final Fantasy VI.
Il s'agit de Locke, un de mes personnages préférés.
Je vous présente la version en noir & blanc, puis celle colorisée.
A la prochaine !
Ca fait longtemps que j'ai laissé ce blog à l'abandon et je vais essayer de redevenir actif.
Voici pour aujourd'hui une cover de Whirlwind, une excellente chanson du non moins excellent Shinobi III, que j'ai réalisé à la guitare.
Ce n'est pas parfait et je l'ai fait à moitié à l'arrache, mais j'espère que ça vous plaira ^^
A très bientôt j'espère pour de nouveaux articles, vidéos, etc...
A la prochaine
The King of Kong: A Fistful of Quarters est un film réalisé en 2007 par Seth Gordon. Ce documentaire retrace la "bataille" que vont se livrer deux joueurs d'exception, dans leur quête du record mondial sur le jeu Donkey Kong.
Steve Wiebe est un ancien ingénieur en aéronautique de 38 ans, reconverti en professeur d'algèbre. Il passe ses moments libres en jouant sur la borne d'arcade Donkey Kong installée dans son garage. S'intéressant de plus en plus à ce jeu, il arpente le web à la recherche d'informations et apprend qu'un certain Billy Mitchell détient le record du monde du jeu depuis 1982.
Ingénieur émérite et mathématicien de génie, il parvient à découvrir certains patterns et techniques qui lui permettront finalement de battre le précédent record, tout en ayant filmé sa performance.
Il envoie la VHS à Twin Galaxies, le premier organisme de statistiques du monde du jeu vidéo, chargée d'authentifier et de répertorier tous les records du monde "officiels".
Ceci va déclencher une véritable "guerre" entre Wiebe et Mitchell, entre malversations, provocations et sournoiseries...
Je vous recommande chaudement ce film, que vous soyez ou non un gamer ! La psychologie des deux protagonistes principaux est fascinante: l'orgueil et la confiance en soi de Mitchell contre la persévérance de Wiebe ! Les voir ainsi s'affronter dans une telle rivalité pour un simple record de jeu vidéo est stupéfiant...
Sérieusement, jetez-vous dessus, vous ne serez pas déçus, je vous le garantis !
PS: Brian Kuh me donne la nausée... (matez le film et vous comprendrez >_< ...)
A la prochaine !
Voila un personnage quelconque que j'ai dessiné il y a de cela un bout de temps...
J'en suis plutôt content au final, il a une bonne tête je trouve ^^'
Voila, c'est tout (pas grand chose...) pour aujourd'hui !
A la prochaine !
En parcourant le web, je suis tombé sur cette image qui, malgré un attrait graphique indéniable, m'a plongé dans une réflexion vidéoludique plus sérieuse (quoique ça se discute...)
"Et si Mario avait été conçu à la base sous la forme de cette jeune femme ?"
Et si Miyamoto s'était levé un beau jour de 1981 en imaginant son nouveau personnage comme une demoiselle légèrement vêtue et aux formes généreuses... Mario, ainsi renommée Maria, aurait-il connu le même parcours incroyable, jalonné de merveilles telles que Super Mario Bros. 3, Super Mario World, Super Mario 64 ou plus récemment Super Mario Galaxy (pour ne citer qu'eux) ?
Ou bien aurions-nous eu droit à des Maria's Beach Volley ou autres jeux prétextes au fan service sexy à la Dead or Alive ?
Non pas que les héroînes dans le jeu vidéo soient systématiquement synonymes de fan service facile et la plupart du temps consternant, loin de là, on ne citera que Lara Croft, Samus Aran ou encore Jill Valentine...
Cependant, la question est posée...
Etant donné que nous parlons de Nintendo, la réponse est clairement négative, mais entre les mains de développeurs moins précautionneux, le doute restait permis et je n'en aurais pas pas donné ma main à couper...
Mais attendez, en y réfléchissant, le personnage du plombier italien moustachu n'est pas si éloigné d'un protagoniste tout droit sorti d'un film x des années 80... Déroutant... >_<'
Bon, je ne vous cacherai pas que cette pseudo analyse à 2 francs (ou 0,30 €) avait pour seul but de vous montrer des boobs sur ce blog... Profitez-en bande de crapules ^^
A la prochaine !
Dernièrement, j'ai découvert ce site vraiment excellent qui, comme son nom l'indique, recense les scènes salaces et grivoises qui se glissent parfois accidentellement dans certains jeux vidéos (quelle honte, c'est inadmissible !) ^^
Voici quelques exemples qui, je l'espère, vous donneront envie d'aller jeter un coup d'oeil (lubrique) sur la galerie totalement hilarante que propose le site.
Cet article a une vocation d'étude purement vidéoludique, n'y voyez rien de graveleux ou d'obscène, je ne suis pas comme ça voyons... (non vraiment !) ^^'
A la prochaine !
8-Bit Fatality est un projet de Steven Lefcourt, de TastyPaints, résidant en une série d'artworks inspirée par les polémiques sur la violence dans les jeux vidéos.
Voici une brève explication de l'artiste quant aux origines de sa démarche:
(C'est en anglais, je n'ai pas eu le courage de traduire...)
Before Mortal Kombat, violence in video games was largely unheard of or ignored because of its extreme pixelized simplicity. But when Liu Kang and Sub Zero came along to finish off arcade goers the world changed and parents were in an uproar (not mine though).
I couldn’t understand what the big deal was though, because as a videogame player all my life I had already considered my actions life and death. Just because you didn’t see pac-man violently tearing into the ghosts with his jaws, or mario smashing in the brains of a goomba, thats what I knew was happening. I knew my goal was to kill these enemies, so Mortal Kombat wasn’t a big change for me. To me, it was still just a game, where fake deaths happened as part of game progression. To uninformed adults, however, Mortal Kombat was a photo realistic depiction of kids becoming complicit in virtual murders. And so, I decided to show everyone just what I imagined was happening when these little blocky, pixelized abstractions did when they came into contact with eachother, but in a much more visceral, and gory way than could ever be shown with limited graphical systems.
Dans les grandes lignes, il explique qu'à l'époque de la sortie de Mortal Kombat, il ne comprit pas vraiment la polémique autour de la violence du jeu. Auparavant, les limites techniques freinaient les développeurs dans une volonté de rendu toujours plus réaliste. Néanmoins, la violence était bel et bien présente, lorsque Pac-Man transperce un fantôme ou quand Mario atterri lourdement sur un Goomba...
Aussi, il imagina ces quelques scènes, une représentation viscérale et gore de la violence de ces jeux, amputée des limitations graphiques des machines de l'époque.
Personnellement, j'ai vraiment aimé cette approche, et cela fait réfléchir. Mario, qui dézingue joyeusement une farandole d'ennemis depuis sa création ne serait-il finalement pas le plus grand tueur en série de l'histoire du jeu vidéo ?
Je vous laisse méditer là-dessus ^^'
A la prochaine !
Aujourd'hui, j'ai tenté de réaliser un dessin tiré d'un artwork de Jack Cayman, le personnage principal de MadWorld.
MadWorld est un beat'em all sorti sur Wii, développé par PlatinumGames et édité par Sega. Je vous le recommande, c'est un bon défouloir comme on les aime, gore et pas prise de tête !^^
J'ai essayé de partir d'un fond noir et de directement peindre avec la couleur blanche, ce qui est assez intéressant je trouve.
C'est l'une des choses que l'on ne peut faire qu'avec des logiciels de type Photoshop...
Peut-être un dessin dans le genre de celui du Big Daddy de Bioshock demain... ^^'
A la prochaine !
Je suis tombé la-dessus complètement par hasard et j'étais plié en deux devant mon écran ! ^^
N.B. : Si vous ne connaissez pas Street Fighter, cela ne va pas beaucoup vous parler... (bien que la photo soit vraiment sympa en elle-même !)
A la prochaine !
Il est fort ... ^^
